Véritable gratte-ciel « intelligente », Oasia voit le jour après cinq années de travaux d’arrache pieds à Singapour, dans cettecontrée où la chaleur pesante est souvent augmentée par les nombreux buildings de verre et d’acier.En tout cas, défi relevé pour le cabinet d’architecture WOHA, il ne peut qu’être satisfait de leur œuvre par la conceptiond’Oasia.
Réalisation d’Oasia : le building responsable
En effet, les bonnes idées pour une habitation écologique et durable ne manquent pas, surtout dans cet ère où la pollution prend de plus en plus de place. À Singapour, dans cette ville où les gratte-ciels sont omniprésents, un immeuble entier a vu le jour, recouvert de végétaux, baptisé Oasia.Ayant une spécificité originale, la grande façade de trente-huit étages del’Oasia est recouvert en entier de végétaux, composés d’une vingtaine de variétés de vignes fleuries et de plantes rampantes, le tout greffé sur une maille d’aluminium assez légère. Grâce à cette enveloppe végétalisé et verdoyante, cet édifice peut absorbée les émissions polluantes de la ville, et donc respectera l’environnement dans cette grande ville où les gratte-ciels font office de véritable éponge à chaleur. En tout cas, Oasia, est un véritable modèle à suivre pour les gratte-ciels du futur.
Que se passe-t-il à l’intérieur de la tour ?
En plus d’apporter de la verdure dans le grand quartier d’affaires singapourien, cetour gigantesque agit semblablementcomme un véritable poumon rural, de façon à ce que le CO² que dégagent les plantes se charge d’absorber les pollutions urbaines.
Aussi, les réflexions solaires sur la façade végétale de l’Oasia sont amplement réduites et l’isolation thermique bien plus performante. Ce n’est pas tout ! Les plantes qui s’y trouvent réduisent aussi la température interne du bâtiment. En effet, l’humidité des plantes permet à l’Oasia, disposant d’un hôtel de 300 chambres, de conserver sa fraîcheur mais aussi d’absorber la pollution ambiante. Une prérogative non-négligeable dans cette grande ville où l’air devient vite pesant.
